Conseiller de Paris (2008 - 2014)

Vice-Président de la Commission

Développement économique et affaires générales

ELUE DU 16 eme                     

1. ‣Piscine Molitor
   

2. ‣Roland Garros à Paris
   

MA PRIORITE :

LA RENAISSANCE DE LA PISCINE MOLITOR

Je revendique une part de paternité dans la renaissance de la magnifique piscine Molitor, fermée depuis la fin des années 80. C’était l’un de mes premiers objectifs à mon entrée au Conseil de Paris.

La commission « Molitor », dont la création fut votée par le Conseil de Paris en juillet 2008, regroupait de nombreux élus du 16ème arrondissement dont son député-maire, le député du nord 16ème et moi-même. Sa mission était d’examiner les différents projets et de proposer  une  délibération qui ne pouvait être effective que par un vote de notre hémicycle.

Le projet, que je soutenais, combinait : respect architectural (restauration du bassin d’hiver à l’identique), innovation (couverture du bassin d’été et le traitement de l’eau à l’ozone), et attractivité économique avec une offre d’activités haut de gamme (« boutique hôtel » vitrine internationale pour le groupe Accor, centres de santé active). Le bassin d’hiver sera dédié aux scolaires, aux associations et au public à un tarif accessible, comparable à celui de l’Aquaboulevard.

Son montage financier simple et solide (bail emphytéotique administratif) offre la meilleure utilisation de nos impôts, car dispense le contribuable parisien du financement des rénovations tout en garantissant que le site reviendra à Paris en fin de bail !

LES TRIBULATIONS DU MAIRE : MONSIEUR GOASGUEN

Le Maire du 16e avait dans un premier temps décidé de ne pas soutenir cette réalisation, mais un autre projet pour des raisons qui lui sont propres. Un bras de fer entre nous deux s’est alors engagé. Cette magnifique piscine art déco inscrite depuis 1990 à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques ne pouvait renaître que dans un strict respect architectural.

A sa lettre de pression, ma réponse défendait l’histoire de notre arrondissement, au delà des intérêts personnels et politiques. Monsieur Goasguen finira par rejoindre ma position lors du vote en Conseil d’arrondissement puis en Conseil de Paris. Livraison prévue de cette rénovation fin 2013.

Cette volte-face se reproduira sur le dossier du maintien de Roland Garros. Plus difficile à comprendre sera son refus, comme de tout l’UMPPA, de ne pas voter le projet des pelouses d’Auteuil : magnifique espace vert pour le sport à l’école pour nos enfants dès la fin de cette année. Pour finalement après un avis favorable du ministère de l’environnement dirigé par Jean-Louis Borloo, consentir à approuver ce dossier.

En conclusion, ce n’est pas par l’obstruction systématique que l’on défend le mieux l’intérêt de nos concitoyens.